Ah orthographe quand tu nous tiens
14 Mai an II :
5h30 :
La nuit s’est relativement bien passée, les contaminés du secteur ne nous ont pas repérés mais, ce matin le sergent Ntoko a trouvé un homme qui présentait des signes d’infection, bien sur il a été, suivant les procédures, emmené et abattu un peu plus loin.
La doc’ a fait subir a tous le monde un bilan de santé complet et appart quelques champignons et rhum rien a signalé mais cela nous a retardé et après avoir démonté le camp le plus rapidement possible nous reprîmes la route.
L’inconvénient majeur d’un groupe aussi important était le retard que nous prenions à chaque problème de ce genre.
13h26 :
Nous avons eu un accrochage avec un groupe de contaminés de type bêta, au nombre de 12 ils sont sortis de terres d’un coup a quelques mètres du convoi et on sautés sur un des pick-up du flan droit. En quelques minutes les occupants du véhicule ont été égorgés par ces monstres. Le peloton de Ntoko , qui était le plus près a ouvert le feu bientôt suivis par les autres .
Alors que le flanc droit était assailli et que les pelotons de défense s’étaient regroupés là bas, une demi-douzaine de bêta sont apparue devant ma jeep, mon aide de camp écrasa le frein, les créatures nous avait déjà sautées dessus Josué les accueillies avec son fusil a pompe, l’autre soldat assis a côté de moi tira une rafale sur les monstres, moi plus lent, quand je réussi enfin à sortir mon 9mm il ne restait plus de bêta. Ils avaient enlevés mon aide de camp qui, après son freinage extrême, avait traversé le pare-brise. Quel abruti je lui avais dit de boucler sa ceinture, bien fait.
L’assaut n’avait duré que 2 minutes et les monstres n’étaient qu’une vingtaine mais 13 hommes étaient morts et 2 blessées. Après les avoirs emmené jusqu’au camion hôpital, je me suis penché d’un peu plus près sur les corps des bêta :
Leurs corps ne montraient aucune trace d’organes reproducteurs, ils devaient mesurer environ 1m30, avaient des ongles long d’environ 10 cm tranchants comme des couteaux, leurs dents étaient toutes tombés sauf leurs canines qui étaient exagérément longue, de leurs blessures suintait un liquide jaune.
Après avoir incinérer les corps des montres et de nos hommes nous reprîmes la route.
21h47 :
Le camp fut monté très tard, je voulais essayer de rattrapé notre retard, ce qui fut en partis réussi.
L’ambiance du camp me força a agir, je demanda au
caporal newton du peloton d’Ntoko de faire distribué a tous le monde soldats, voyageurs et staff du chocolat, des sodas ou un peu d’alcool.
Mesures exceptionnels vu la rareté du chocolat qui m’était normalement réservé.
L’ambiance s’améliora nettement, j’espère que demain la seras plus calme car sinon mes réserves prendront un sacrée coup.